Achat de liens : trouvez des bons spots en évitant les pièges
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Achat de liens : méthodologie

Achat de liens : ma stratégie pour trouver les bons spots en évitant les pièges

Il y a une semaine jour pour jour, j’inaugurais ce blog SEOXpérience avec un avis plutôt tranché sur les vendeurs de liens au Trust Flow (cf. article à lire ici). Ce coup de gueule étant désormais passé, il est temps pour moi de voir le côté positif de l’achat de liens et sa puissance indéniable dans l’apport de popularité, de trust, et finalement de positionnement. Aujourd’hui, je vais vous livrer toute ma méthodologie lorsque je souhaite acquérir des liens « sponsorisés ». On est parti ?

Si vous avez lu l’article de la semaine dernière, vous devez vous demander ce qu’il s’est passé dans ma tête et où sont passés les termes vilipendées à tord mais surtout à raison sur les indicateurs ?

Rassurez-vous, rien à changer à ce sujet et je peux vous garanti que JAMAIS, au grand JAMAIS je ne me suis servit qu’un quelconque indicateurs (j’entends par là Trust Flow, Domain Authority ou encore Ahrefs Rank) dans ma quête aux bons liens, voici les autres façons de faire qui me semblent foutrement plus efficaces et pertinentes.

 

Préambule 1.0 : l’achat de liens, mais c’est le mal non ?

Commençons par démystifier un peu la pratique (courante) qu’est l’achat de liens et dites-vous bien que lorsque les attachés de Presse d’une marque lancent des « Communiqués » en grande pompe à toutes les presses nationales voir internationales, si les liens acquis sont « naturels » et souvent « gratuit » (on verra ça dans les semaines à venir sur le blog), ils ont tout de même bien été forcé par la campagne de communication derrière qui n’est pas très « naturelle »…

Dans le cadre d’un achat de liens, cela doit être interpréter de la même façon. Oui, vouloir un article ouvertement publicitaire menant vers votre site internet avec un lien ancré sur votre requête cible « devis immeuble Chartres » est une très mauvaise idée, d’autant plus si celui-ci est placé sur un site qui sent le jardinage, on est d’accord, mais si les articles sont des articles de style journalistique (plusieurs sources citées, + liens brand/URL) ou que le lien semble légitime car utile au lecteur, il n’y a aucun risque pour vous de vous prendre une pénalité, soyez-en sûr !

Maintenant, regardons ensemble et en détail comment je m’y prends pour décréter que je veux tel ou tel spot ou, qu’à l’inverse, je le fuis. Par soucis d’équité et comme je déteste la hiérarchisation, que ce soit dans le monde du travail ou dans le SEO, les étapes ne sont pas à prendre les unes après les autres, elles sont à faire ensemble, peut importe leur ordre.

Disclaimer : il s’agit ici d’un retour d’expérience personnel, comme se sera le cas à chaque fois, les avis de chacun diverge, je vous partage le mien).

 

Préambule 1.1 : que recherchez-vous ? (faire grossir votre trust global, pousser une page « froide précise », rebondir sur un sujet d’actualité)  

Comme tous les sujets, et d’autant plus en SEO, il faut tout d’abord s’imposer la nuance, c’est pourquoi nous allons brièvement faire le tour de votre stratégie d’acquisition de liens lors d’une campagne d’achats pour que je me retrouve pas avec des commentaires de type « oui mais dans mon cas, ça ne marche pas car… ». Personnellement, j’identifie 3 types d’objectifs dans une campagne d’achat de liens qui découleront sur votre méthodologie à chercher vos spots.

  1. Vous voulez grossir votre trust global : dans ce cas, vous n’irez pas forcément rechercher des pages positionnées sur de la longue traîne pour y avoir un lien mais vous préférerez un bon gros acteur qui envoi du bois. De même, vous souhaitez des liens vers votre home et/ou catégories mères et non pas pousser une « Power Page ».
  2. Vous voulez poussez une page froide (type guide, type fiche produit,…) : ici, vous allez certainement avoir besoin d’ultra thématiser votre recherche et moins d’aller chopper du lien presse de folie qui n’ira pas forcément avec votre mise en avant d’aspirateur Dyson…En revanche, un lien d’un sublime comparateur ou opérateur de cashback, ça vous plairait. Le lien en question sera mis sur une page profonde.
  3. Vous souhaitez rebondir sur un sujet d’actualité et vous avez raison 😉 (le mec pas objectif) : sans rire, c’est la meilleure façon de faire passer des liens dans un flot d’actualités connexes et vous allez plutôt cibler des sites étant sourcés dans les Google News, mais également des sites presses généralistes comme des gros sites thématisés. Ici, les liens qu vous souhaitez obtenir vont de l’article qui parle du sujet en question jusqu’à la home page pour un trust global.

 

Un site en bonne santé est un site qui rank : la SERP détient la vérité (à un instant T)

Je paraphrase ici les propos d’un certain Laurent Bourrelly qui me semble très important de rappeler et surtout hyper urgent à se mettre dans la tête. Peut importe la façon de faire, que le site ait des liens moyens, une structure un peu nulle ou encore un contenu que vous ne jugez pas comme étant vraiment excellent, si un site rank sur une requête, et qui plus est depuis très longtemps sans avoir bougé (utilisez l’outil SEObserver pour savoir cela si vous n’avez pas d’historique personnel d’une SERP), dites-vous qu’il est légitime et qu’il serait bon d’y avoir un lien.

Lorsque je souhaites avoir des liens précis pour des requêtes précisent, je me rends donc tout simplement sur le site assez connu qu’est Google.fr et je récupère l’ensemble du top 50, le reste, je le mets à la benne, car inutile.

Me voici donc avec une liste de 50 URL’s positionnées pour une requête qui m’intéresse* et je peux dès maintenant faire un premier tri, il s’agira notamment des sites inaccessible comme les encyclopédies en tout genre, certains articles déjà « froids » de grosses presses, des concurrents ultra direct qui ne voudront jamais jouer le jeu, etc…

Une fois que vous avez une première liste, il va maintenant falloir analyser tout ça en profondeur avec nos outils favoris.

*La requête en question peut aussi bien être une requête de longue traîne pour des liens très précis que des requêtes semi-longue traîne (catégories) ou carrément des requêtes concurrentielles (type « paris sportifs », quels sont les 50 plus gros).

 

Analyse du netlinking : montre moi ton profil de liens et je te dirais si tu me plais

Par expérience, l’analyse du Netlinking doit impérativement se faire à la main. Si vous ne vous forcez pas à le faire, alors ne pleurer pas le jour où vous avez acheter des liens sur un spot qui semblait sympathique mais qui en réalité était une bombe à retardement prête à vous exploser en pleine face. C’est pourquoi je déplore l’ENSEMBLE des indicateurs qui sont des faux amis…Pour ma part, j’ai un abonnement unique chez Ahrefs, il fait très bien le job.

Ce que je regarde pour conclure de la popularité SEO d’un site :

Premièrement, je vais directement voir le profil des ancres du site internet que j’ai ciblé comme étant potentiellement bon, aussi bien sur le plan global que sur toutes ses têtes de catégories. Si je sens que le profil a été gonflé à coup d’ancres optimisées, j’arrête directement mon analyse, il est inutile de me payer un lien sur un spot qui va peut-être péter dans quelques mois, et qui de toute façon est gérer par une agence de référencement qui semble-t-il ne va pas s’arrêter en si bon chemin.

Ancres de liens de Tirage-Gagnant.com

L’analyse des ancres de liens pour le site Tirage-Gagnant.com, presque aucune ancres optimisées.

Analyse des ancres de liens pour la catégorie "Loto" du site Tirage-Gagnant.com, plutôt vide d'ancres suroptimisées

Analyse des ancres de liens pour la catégorie « Loto » du site Tirage-Gagnant.com, plutôt vide d’ancres suroptimisées.

Deuxièmement, je vais consulter les domaines référents du site cible et ne retenir que les liens « Dofollow » (à l’exception des liens Wikipédia en NoFollow). Je balaye des yeux les principaux sites qui lient mon domaine cible et je prends le temps de regarder de plus près lorsqu’il y a certains domaines référents dont j’ai un doute sur la pertinence ou,  au contraire, qui me paraisse « trop bien » et je regarde à ce moment-là où est placé le lien repéré (s’il s’agit d’un commentaire, d’un profil, ça m’intéresse déjà beaucoup moins…)

Domaines référents pour le site Tirage-Gagnant

Les principaux domaines référents pour le site Tirage-Gagnant. | Image : Ahrefs

Troisièmement, je vais regarder la vitesse d’obtention des liens et savoir si la tendance est plutôt à la hausse ou à la baisse via les nouveaux liens entrants relevés et les liens entrants perdus.

Si le site n’a pas acquis de liens depuis de nombreux mois, on peut se poser des questions sur la situation de vie du site, vous vous en ferez votre propre analyse, il m’arrive d’être rassuré par des sites qui sont assez vierge de liens mais qui rankent très bien, il n’y a pas de vérité absolue là-dessus. Dans le cas inverse, si le site reçoit énormément de liens d’un coup, je vais attendre un peu pour voir si la courbe reste la même où s’il s’agissait d’un sursaut qui risque de faire un effet kisskool très vite.

Ci-dessous, vous pouvez retrouver le calendrier d’obtention de liens pour notre projet Tirage-Gagnant.com, attention toutefois dans l’analyse que vous en ferez car beaucoup de liens ne servent à rien et sont aussitôt mis dans les « liens perdus », creusez toujours assez profond pour vous éviter les mauvaises surprises.

Obtention de liens Tirage-Gagnant

Voici les éléments importants que je regarde et qui me donneront une belle vision d’ensemble sur la stabilité du site internet ainsi que sa puissance générale, cela ne vous a pas échappé, il y a certaines choses que je ne regarde pas dans cette analyse…

Ce que je ne regarde pas pour conclure de la popularité SEO d’un site

  • Les indicateurs en tout genre : inutile car faussés et comme je vous le disais, une analyse se doit d’être manuelle sinon elle est biaisée d’entrée de jeu, donc une fois votre analyse manuelle effectué, vous aurez une bien meilleure vison sur le netlinking global du site plutôt qu’avec un foutu indicateur 😉
  • Le nombre de liens ou de domaines référents : je me fiche pertinemment du nombre de domaines référents qu’à un site internet. Là encore, par expérience, ils ne permettent pas de définir sur le site à un méga trust ou non, ils vous mettrons bien souvent sur une mauvaise piste. Imaginez un site ayant 400 sites de réseaux foireux avec chacun une page unique et 0 visite, il comptera 400 domaines référents, mais paye leur gueule…

Encore une fois, avec une analyse très rapide et systématique des liens en profondeurs, vous aurez une bien meilleure vision, s’il n’y avait qu’un seul conseil à retenir sur cette partie, c’est bien celui-ci (Do It Yourself…bitch [gratos]).

 

Estimation du trafic global et du volume de requêtes positionnées du site cible

Pour établir l’état de santé d’un site internet, rien de tel qu’un petit tour sur sa courbe de trafic estimé et sur le positionnement de ses requêtes.

Pour cela, il n’y a pas 36 solutions, il existe les très bons outils que nous connaissons certainement tous, à savoir Yooda Insight, Ranxplorer et SEMRush, je sens que tu as envie que je me positionne sur ces outils alors je vais le faire rien que pour toi, mais cette analyse n’a lieu d’être que pour mon estimation en vue d’un achat de liens.

  • Yooda Insight : résolument mon préféré, il reste cantonné au Top 10 des requêtes tout en ayant une très grosse base de mots clés, ça me donne une analyse assez fine des thématiques de mots clés positionnés et des termes qui envoient  « vraiment » du trafic*

En savoir plus sur les offres de Yooda Insight : https://insight.yooda.com/

  • Ranxplorer : pour moi le meilleur dans une auto-analyse de site web grâce à sa profondeur de crawl (Top 50) et booster des requêtes « oubliées », mais dans ce cas précis, j’en ai vraiment rien à faire des mots clés positionnés >20 pour estimer le trafic, de fait, le nombre astronomique de requêtes trouvées va troubler mon analyse. En effet, un site qui publie 100 pages par jour va forcément remonter en Top 50 sur des requêtes à chier, et ça m’intéresse pas, je veux savoir s’il est capable de remonter fort sur mon domaine cible et en top 10 minimum, le reste, c’est de la chiasse.

En savoir plus sur les offres de Ranxplorer : http://ranxplorer.com/

  • SEMrush : les statistiques ressemblent à celles de Yooda mais avec une moins grande profondeur dans la base de mots clés ce qui me perturbent un peu pour cette analyse. En revanche, ils ont l’aspect international et ça, ça me plait pour vérifier si un site se positionne en Belgique/Suisse pour un francophone par exemple.

En savoir plus sur les offres de SEMRush : https://fr.semrush.com/

Alors, une fois les présentations faites, on peut allez plus loin dans l’analyse, je retiendrais deux grands points :

Tout d’abord, la courbe du site a-t-elle connu des variations de type « grosse pénalité dans la tronche » et s’en est-elle remis, est-il encore en « PLS », etc…Pour moi, c’est assez simple, si je vois une variation « incohérente », je cours voir la gueule du profil de liens, s’il me plait pas, j’arrête l’analyse là.

Ci-dessous, l’exemple avec la courbe pour Tirage-Gagnant, attention, il peut aussi y avoir des pièges comme ici, certaines requêtes sont indiquées avec un très fort volume de recherche, un mouvement de quelques positions en + ou en – peut influer sur l’analyse, faites attention et creuser un minimum dans les termes à plusieurs mots.

Analyse du trafic et du volume de mots-clés pour le site Tirage-Gagnant.com | Outil : Yooda Insight

Ensuite, si la courbe semble belle et agréable, je m’en vais regarder les tops requêtes pour voir s’il y en a pas certaines qui fausse un peu mon analyse (type Tirage-Gagnant ci-dessus) ou encore des sites qui se positionne sur des requêtes marques (LeBonCoin, etc…). Dans le même temps, j’en profite pour faire défiler les requêtes et pour analyser simplement les grands domaines que l’on retrouve le plus souvent. En effet si j’ai identifier ce potentiel site pour un achat de liens sur une thématique vacances à la campagne mais qu’au finale le site rank à mort sur le secteur de la moto, j’ai peut-être mal analyser mon truc et Google a sorti un faux-positif sur une page donnée.

Ex. : la page identifiée se positionne sur « balade dans les bois ».  Merde ! C’était en fait pour un tour en moto, le principal c’est que ça rank mais bon, ça change un peu la donne (et peut-être mon prix d’achat à la fin).

Voilà, on ne va pas y passer deux heures non plus, en moins de 5 minutes j’ai déjà une idée du positionnement de mon site cible, de son état de santé « SERP » au niveau global et de la thématisation de son positionnement général.

 

Estimation de la popularité réelle d’un site internet via SimilarWeb

Enfin, je vais clôturer ma stratégie en passant le site cible dans la machine ultra puissante qu’est Similar Web et qui va m’indiquer si, au-delà du positionnement SEO du site que j’ai pu consulter celui-ci jouit d’une notoriété réelle (estimation du trafic marque) et s’il a fait des partenariats publicitaires avec d’autres sites (sites référents) ainsi qu’établir sa puissance sociale.

Je vous l’ai dis en début d’article, je déteste la hiérarchie mais s’il fallait un point majeur qui me ferait signer de suite quelque part, ça serait bien sur une notoriété réelle ! Quoi de mieux qu’un site qui possède une communauté, une marque reconnue avec des personnes réelles qui tapent par millier votre nom dans les moteurs de recherche…bah, honnêtement, rien et même pour déterminer un achat de liens.

Ci-dessous, un exemple probant avec le site Pronosoft, leader dans le Loto Foot et les paris sportifs avec plus de 6,5 millions de visites par mois. On se rend vite compte que son trafic de notoriété compte déjà pour près de la moitié de ses visites globales, il s’agit là d’un site solide, très solide.

SimilarWeb : Pronosoft

L’exemple du site Pronosoft, dominateur sur le loto foot avec >6 millions de visites/mois. | Outil : SimilarWeb

Je crois que je suis arrivé au bout de ma démonstration en ce qui concerne ma méthodologie pour savoir si un spot est bon ou non et si je souhaite acheter un lien dessus. Je ne reviendrais pas sur les différentes approches pour contacter les webmasters, à vous d’être le plus avenant et créatif, personnellement, j’adore le téléphone, c’est direct, sincère et souvent ça se passe très bien.

Rassurez-vous, si cet article semble (et est) très long, il ne vous faudra pas plus de 15 minutes pour faire le tour d’un site internet et savoir s’il est réellement intéressant pour vous. Il ne s’agit pas ici de réaliser un audit SEO complet, mais au minimum d’entrer dans les détails pour s’éviter un lien au mieux inutile, au pire toxique…

 

J’espère que ça vous a plu, la semaine prochaine, on suivra le fil conducteur et on commencera à apprendre à obtenir des liens, mais sans les payer grâce aux relations presses, on va certainement en parler pendant quelques semaines d’ailleurs, soyez présent !

Nicolas Robineau En bref

Dans le monde du SEO depuis 2008, j'ai été référenceur web en agence de 2009 à mai 2012 avant de me lancer en autoentreprise jusqu'en août 2015 où nous avons créer la SARL Studioclick avec mon associé et ami Simon Richomme.

Les commentaires
  • Pour moi la clé de l’optimisation d’un bon netlinking, ce sont les liens « rares », le lien au métre linéaire est mort. Un petit spot propre avec du lien que personne n’a peut ranker d’une maniere dingue… Pas la peine de traquer et de copier ses concurrents donc, il suffit d’aller chercher ce qu’ils ne peuvent pas avoir…

    30 mars 2017 at 18 h 33 min
    • N’empêche que si tu regardes comment la plupart des gens basent leurs stratégies, tu te rends compte que beaucoup font encore comme il y a dix ans. Ils pistent un concurrent, prennent ce qu’il y a de mieux dans son profil de liens, et font pareil …

      Perso je pense que si ton site est parfait, déjà sans liens, le peu que tu lui apporteras en lien rare fera le reste, donc je suis d’accord avec vous, il vaut mieux prendre peu, mais bien. Stratégie plus sereine dans le temps. Mais Nicolas, ton article n’apporte pas plus d’infos non plus que ce qu’on pouvait voir il y a dix ans. J’ai hâte d’être à la semaine prochaine.

      31 mars 2017 at 7 h 06 min
  • En plus de ce que dit Patrice ci-dessus, je suis quasi-sûr que tout ce que font les outils cités dans cet article, Google (Do not Do Evil Corp) le fait dès qu’il y a des flags sur un site.
    Donc pour moi, utiliser des outils que tout le monde peut utiliser, c’est déjà une stratégie perdante, sur le long terme au moins. Don’t be Evil, don’t be stupid : si vous voulez durer, ne faites pas comme tout le monde.

    30 mars 2017 at 21 h 01 min
  • Le Trust Flow est un bon indicateur mais un indicateur parmi d’autres. Faut savoir parfois faire des concessions sur le TF quand d’autres indicateurs sont intéressants.

    @Patrice
    Le problème est que si tes concurrents font, eux, l’analyse concurrentielle, ton lien rare ne sera bientôt plus rare !

    ps : merci Nico pour la Porsche. J’espère que ton compte courant était assez approvisionné.

    30 mars 2017 at 21 h 47 min
  • Yann
    Répondre

    On rappellera à toute fin utile qu’on peut se faire défoncer légalement pour un achat de lien dans un article qui ne présente pas la mention « sponsorisé »

    31 mars 2017 at 10 h 15 min
  • Je connaissais pas Similar Web, je viens de tester sur des site que je connais bien les résultats sont vraiment à l’ouest (j’ai testé sur des petits sites de quelques centaines ou milliers de visites/mois précise). Je vois pas comment baser une étude avec ce type de données !

    31 mars 2017 at 14 h 30 min
  • +1 pour l’analyse du trafic SEO comme indicateur de qualité.
    Petit détail qui peut faire gagner du temps dans l’analyse du NDD, Ahrefs donne une estimation du trafic organique et du nombre de mots clés dans le top 100. Cela permet du coup d’éviter de switcher de Tool 🙂

    3 avril 2017 at 9 h 19 min
  • Salut Nicolas, belle technique et j’ai tendance à te rejoindre sur les indicateurs comme le trust flow, mais a défaut d’avoir mieux on s’en contente pour le moment…
    Autrement, ce n’est pas idiot de se basse sur les 50 premiers résultats, apres tout dépend des secteurs car dans certains domaines comme la mutuelle ou l’assurance crédit, tu tombes souvent sur les mêmes sites qui trustent le marché, il faut donc sortir un peu de la thématique et taper dans les thématiques proches. Apres, les mouvements dans les SERP apportent un rafraîchissement naturel des liens, donc solution pérenne. C’était un plaisir de te lire 😉

    5 avril 2017 at 22 h 45 min
  • Résidence étudiante
    Répondre

    Merci pour cet article, c’est excellent!Belle fin de semaine

    24 juin 2017 at 8 h 21 min
  • Viva conseil
    Répondre

    Merci pour cet article

    5 juillet 2017 at 13 h 43 min
  • Les liens c’est vraiment le nerf de la guerre, je dois avouer que j’ai commencé par copier les spots des concurrents mais peu à peu je me rend compte qu’il est utile d’avoir de vrais contenus sur d’autres sites (comme des articles invités) qui seront probablement plus Google-futureproof. Après j’ai vu aussi des sites ranker avec des liens archipourris de sites russes et chinois blindés de pubs sur des secteurs moyennement concurrentiels (TF<20 pour le top 5) donc ça doit dépendre de la stratégie.

    17 juin 2019 at 18 h 39 min

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